Ce matin tout était calme, les oiseaux déployaient longuement leurs ailes pour ce réveiller durement. Un oiseau ?! Lucky. C’est un petit veinard, libre comme l’air allant où bon lui semble ne connaissant ni guerre ni bêtise humaine, juste leurs prédateurs. Une loi de la jungle, le plus petits est mangé par plus gros et le gros par encore plus gros, tous ceci dans un cercle sans fin. Un sourire apparut sur les lèvres de la jeune fille au teint de porcelaine, la loi de la jungle, hein ?! Les hommes ont trop vu le comportement animal pour l’appliquer dans ce bas monde. Tu mets ton nez dans quelque chose qu’il ne faut pas tu te fais liquider, tu veux aider quelqu’un tu auras des problèmes après. C’est pour sa que maintenant tout le monde ce tait et ne dit plus rien, n’aide plus personne, de peur de ce faire manger. Jo est surement la seule à qui cette loi ne s’applique pas, elle est bien au-dessus de la folie humaine qui ronge ses idiots devenu hybride-animal. Elle avança doucement dans cette ruelle vêtue d’une robe blanche s’arrêtant aux genoux, d’un collant blanche, de bottes blanches avec sur les bords de la fausse fourrure et des pompons au bout des lacés, une veste à capuche du même style que les bottes. Ses cheveux descendaient en cascade d’or le long de ses épaules, de son dos, de ses hanches s’arrêtant en haut de ses cuisses. Ses yeux rouges ne rataient rien de ce qui ce passait devant elle, même si elle ne montrait aucun intérêt apparent pour ce qui l’entourait.
*…. Le commissariat. On va voir si ces flics ont des informations qui leurs on échappait.*
Elle arriva devant le lieu en question avec un air innocent à qui on peut faire complètement confiance. Il fallait qu’elle ait accès au dossier sans avoir à montrer son badge du F.B.I. Les portes automatiques s’ouvrirent devant le passage de la jeune fille qui ce faisait passait pour une fille de 16 ans bien qu’elle avait deux ans de plus. Elle salua les agents avec un sourire de sainte et continua à avancer…Cependant il fallait qu’elle passe par l’intermédiaire d’un agent pour pouvoir voir une des personnes qui l’aiderait à avoir les dossiers en question. Elle s’approcha d’un policier qui s’occupait de l’accueil.
« ….Bon….Bonjours. Désolé de vous dérangez j’aurais besoin de parler à l’agent Wateru Takagi ou à l’agent Miwako Satô…… Merci. »
Avec un sourire doux, le policier ne demanda pas de raison et l’escorta jusqu’aux bureaux de ses deux agents en questions et la fit s’asseoir un peu plus loin sur une chaise. Elle s’assit en mettant bien sa jupe sous ses fesses et mit de billé ses jambes comme une parfaite lady avec de bonne manière. Le policier parti cherché l’un de ses deux agents. Johana devait faire attention à son accent américain bien qu’une blonde au Japon ne passait pas inaperçu, on la cataloguait directement d’étrangère. De toute façon il n’y avait rien à craindre puisque la jeune femme était ce qu’on appelle un fantôme dans le jargon des agents fédéraux, quelqu’un qui n’a aucune identité sur les fichiers internationaux, personne ne pourrait connaître sa vie. Justement quand quelqu’un était une personne fantôme, il y avait deux hypothèses : soit cette personne avait un faux nom et une fausse apparence, soit c’était quelqu’un de très haut placé sur le plan judiciaire et là tout était à grande. Cependant pour cette fille aux allures d’innocente personne n’irait chercher dans les dossiers.